Géo-esthétique
Le peuple qui manque

Parc Saint Léger / National School of Art of Clermont Métropole – ENSACM
With the support of the National School of Art Dijon – ENSAD
B42 editions
2014

176 p., 15 × 22 cm — 22€

À la croisée de courants théoriques tels que la géographie critique et postmoderne, les pensées postcoloniales et décoloniales, Géo-esthétique revient sur le tournant spatial de l’art, et s’intéresse à la figure de l’artiste en géographe. L’ouvrage mobilise une analyse «géocritique» étudiant les représentations de l’espace dans les œuvres elles-mêmes, ainsi que celle, indissociable, d’une spatialisation de l’histoire de l’art et du langage curatorial, des contextes spatiaux dans lesquels les œuvres sont produites, circulent et sont valorisées.

 

Constitué de contributions originales et de traductions de textes importants produits ces vingt dernières années, Géoesthétique se veut un livre manifeste, rassemblant écrits de géographes, de théoriciens et d’historiens de l’art, d’artistes et commissaires d’exposition. Il prolonge l’exposition «Atlas critique» proposé par le Peuple qui manque au Parc Saint Léger, Centre d’art contemporain de mars à mai 2012.

 

Sous la direction de Aliocha Imhoff et Kantuta Quiros, le peuple qui manque

 

Contributeurs
Kantuta Quiros et Aliocha Imhoff / Giovanna Zapperi / John Pickles, Sebastian Cobarrubias et Maribel Casa Cortes / Sandro Mezzadra et Brett Neilson / Guillermo Gomez-Pena / Jennifer Gonzalez/ Pedro Lasch / Bertrand Westphal / Beatriz Preciado / Franco Fanrinelli / Cuauhtémoc Medina / Piotr Piotrowski / Thomas DaCosta Kaufmann / Joaquin Barriendos /